Rencontre...

* La ou quelqu'un se cache d'autres règnent dans la lumière...*

J''approchais de la sortie du palais; mes longs cheveux blonds relevés en chignon et mes yeux bleus relevés de crayon. J'avancais d'un pas décidé vers la sortie quand un garde m'interpella et dis; enfin pensa:
*Vous ne devez pas sortir interdiction formelle de vos parents il y ades voyoux dehors...* Je n'insista pas; fis une petite révérance et m'éloigna avec ma démarche gracieuse vers mes appartements personnels immenses soi disant passant. En passant je fis un saut dans les pensées de ma mère qui comme toujours étaient tournées vers moi celle ci ne pensait qu'à moi et défois je me demandais si elle pensait à autre chose ou à quelqu'un d'autre. Arrivant dans mes appartement je m'écroula sur mon lit et mee mis à penser au fait que je n'avais pas d'amis; que je me sentais seule et que... que... ben voilà que je n'avais pas d'amis... A la cour tout le monde me respectais meme me craignais et donc personne n'était mon ami même pas les jeunes enfants... Ma mère me disait souvent d'essayer de m'amuser avec mes frères et soeurs mais... Je ne pouvais pas; je n'y arrivais pas . Alors je restais toute seule ou quand je pouvais avec ma mère; nous pouvions parler pendant des heures sans épuiser tous nos sujets de conversation... J'étais plongée dans mes pensées lorsque je sentis des pensées qui m'étaient étrangère sur mes gardes je me releva; remis mon chignon en place et attendis en époussetant ma longue robe blanche et dorée

Je n'ai jamais dit que j'étais venue simplement pour te dire bonjour ...
Pv' à Ayesha

A.ussi silencieuse qu'une ombre, je pénétra par la fenêtre du palais. M'engouffrant dans les immenses couloirs invisible tel un fantôme je passa devant les gardes. Leurs armures commençèrent à chauffer, il crevaient de chaud sous leurs épaisses cuirasses de fer. Je sortis ma dague et la prit dans ma main, la cacha à moitié sous la manche de ma robe de cuir noir. Je pris un pas plus rapide, fit tomber un tableau d'un regard rageur. Ou était-elle ? Cette si mignonne petite princesse. J'entra alors dans la chambre de la plus jeune des princesses. Encore dans son berceau je la prit dans mes bras. Mon enfant, ma petite fille arrachée il y a maintenant un an. Je l'enveloppa dans ses draps de soie et la mis dans un sac, le mien. Puis je la cacha dans ma tunique. Continuant ma route dans les appartement je n'avais plus qu'une seule idée en tête: Sortir de cette endroit avec ma fille. Oui ma fille qu'ils m'avaient dérobée quand je l'avais laissée sur le bord de la route pour aller piquer les bourses de vieux marchands. Le carrosse royal arrivait juste à ce moment la tendit que j'étais dans le compartiment passager. Un coffre de pièces était devant mes yeux, je bourra mes poches de tout ces écus. Les serviteurs royaux avaient déjà recuperer ma petite, je me susi alors dit qu'il fallait quelle grandisse dans les draps d'une princesse telle qu'elle était. Je l'avais donc laissée au bon soin des seigneurs. Pendant ce temps j'étais retourné vivre ma vie en pensant à ma fille toute l'année de séparation. Je pénétra soudain dans une chambre immense, à la fenêtre était accoudée une jeune femme. Surement la princesse aînée. J'approcha sachant que je ne craignais rien, étant plus forte et agée que cette jeune fille. Je me mis à côté d'elle, attendant sa réaction ne montrant mon visage caché sous ma capuche de cuir ...

Je vis ma petite soeur dans les bras d'une inconnue qui se tenait elle même à coté de moi. Me retourna prestement je l'observa longuement et finis par dire ducement mais assez fort pour q'elle entende:
Qui etes vous et que faites vous avec ma petite soeur dans les bras?! bien sur les sons qui sortirent de ma bouche ne furent pas ceux d'un humain normal mais je sentis aussi qu'elle n'était pas ne humaine normalle...Instinctivement je recula et essaya de lire dans les pensées de l'intruse mais je m'oppasa à un mur et je ne chercha pas à le contourner; ma mère m'avait souvent dis que le plus facile moyen d'obtenir des informations était de les obtenir du pleins gré de celui qui les détenaient après avoir réavancé vers ma soeur et remis une des mèches de ses cheveux étrangements longs pour son age derière son oreille je dis tout en la couvant du regard:
Alors? Vous n'allez pa sme dire que vous ne savez pas pourquoi vous etes là?! J'avais acquis une certaine maitrise de la diplomatie et avais cmpris que cela ne servirais à rien de m'énerver contre quelqu'n dont je ne savais rien... Je continua donc de couver ma soeur du regard en attendant la réponse de la femme...

Une lueur de défi s'alluma dans mon regard de feu, j'enleva ma caouche et dévoila mon visage d'une rare beauté. Mon regard écarlate se posa dans celui d'azur de la princesse. Elle essaya, cédant à la panique de maîtriser mes pensées. Malheureusement pour elle j'étais assez vieille pour contrôler parfaitement ma tête et les informations secrètes qu'elle détenaient. Jamais elle ne parviendrit à extraire mes pensées, je l'observa quand elle remit une mèche de ma petite. D'une voix assez moqueuse je répondis, glaciale:
- Tu vois bien que je la vole ! Vite appelle les gardes !
Un rire moqueur me secoua, je dévoila en même temps mes dents blanches. Puis je gronda quand elle recommença à caresser ma fille. Un éclair passa devant mes yeux, derrière la jeune femme un chandelier se leva et s'abattit de plein fouet à l'arrière de son crâne. Je n'avais pas taper assez fort pour lui faire perdre connaissance mais je savais que le choc lui ferait réaliser à qui elle avait à faire. Je serra ma fille dans mes bras et lui parla à voix basse, une douce voix, mélodieuse sortit de ma gorge destinée à ma fille:
- Ma douce Ellïana, ma toute petite, je ne te quiterrais pas.
Pendant que je tenais ce discours à mon ange chéri, je jeta un rapide coup d'oeil vers la princesse à demie-assomé par son propre chandelier. Tout à coup deux gardes entrèrent l'épée au poing dans la chambre. Ils avaient entendus le choc de l'objet doré contre la pierre froide. Je leva la tête, mon regard devint rouge sang, la magie afflua dans mes veines tandis qu'une énorme boule de feu éclata à côté de deux hommes. La rage éclata dans mon corps et s'échappa à l'air libre. Un énorme spectre noir se dressa devant les deux gardes et les enveloppa dans ses bras mortels. Ils s'enfuirent dans un énorme bruit de ferraille abandonnant à son sort la pauvre princesse. Ils allaient donnés l'alerte je le savais, je les attendaient de pied ferme. Ellïana dans mes bras je regarda son doux visage, elle avait hérité des yeux gris bleutés de son père le grand sage Jaïren. Il était désormais mort d'une étrange maladie qui avait affecté son coeur et ses poumons puis son cerveau. Je revint à la réalité, prête à combattre et à protéger férocement le dernier membre de ma famille, ma descendance ... Ellïana ...